Les Français raffolent de l’investissement immobilier. Il faut dire que peu de placements font mieux en termes de rendement. Les méthodes d’épargnes classiques telles que les livrets réglementés ou les assurances vies sont en perte de performance. La rentabilité peut parfois atteindre les 10 %. De quoi faire rêver les investisseurs. Voici quelques bons placements en immobilier classique à faire.
La location saisonnière
La location saisonnière connaît réellement un boom depuis l’apparition de certains sites comme Airbnb ou Booking.com. Les touristes par exemple en raffolent et se détournent de plus en plus des hôtels. Il y a donc d’importants bénéfices à se faire sur la location de biens situés près des zones touristiques. Il est en plus possible de profiter de certains avantages fiscaux grâce à un statut particulier, celui de LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel).
La colocation et le coliving
C’est une nouvelle tendance qui connaît aussi une certaine croissance depuis quelque temps. On parle ici de la colocation. À l’heure où les grandes villes manquent de places et que les prix s’envolent dans ces zones géographiques, il revient à la mode de partager son logement avec un colocataire. Ce type de location cible des profils particuliers, notamment les étudiants et les jeunes actifs. Mais ce n’est pas une solution inaccessible aux professionnels et aux seniors aussi. Il s’agit ici de proposer un mode de collocation avec un peu plus de standing que la méthode normale. Un investisseur peut espérer jusqu’à 8 et 10 % de rendements, parmi les meilleurs sur le marché.
Les SCPI
Les SCPI ou Sociétés Civiles de Placement Immobilier sont des plateformes de placement participatif pour les investisseurs qui recherchent la sécurité et le rendement en même temps. Bien que ce ne soit pas l’investissement le plus rentable de tous, les SCPI se démarquent par leur niveau réduit de risque. Plus d’infos sur https://www.enquete-debat.fr/.
Les investissements locatifs cités ci-dessus font partie des plus rentables du marché. Néanmoins, il ne faut pas toujours se fier à cette caractéristique. Il est aussi nécessaire d’évaluer le niveau de risque.